Commentaires - Page 503
La Fée Coupaille Voyages, aventures et combats (Première partie)
Cher Daniel, MERCI pour cette brillantissime et émouvante lecture qui me touche particulièrement, mais cela je vous l'expliquerai sur un autre canal. quelle peinture - presque au sens propre ! - des mœurs maritimes de l'époque et au final...le tableau n'est guère flatteur. Beaucoup de souffrances, de privations et de misère pour un gain quasi nul. Certes, on me rétorquera que l'aventure vécue est sans prix, c'est un peu trop facile. Jamais plus qu'au travers de ce récit on se rend compte que la marine a toujours était le parent pauvre des armées... et les exigences... exorbitantes, extravagantes, sans rapport aucun avec la réalité du terrain. Combien j'eusse aimé voir ces beaux ministres s'embarquer à leur tour... sans toucher le moindre appointement et livrés aux caprices de la mer. Tant d'hommes ont donné le meilleur d'eux-mêmes... pour rien ! Que le gâchis ! C'est à frémir. C'est pour cela que ce récit est si utile. Le portait de Surcouf est savoureux. Il est simplement dommage que Garneray n'ait pas mis ses pas dans les siens ; son destin eût été tout différent. Bien sûr, inutile de le céler, le récit est âpre, pénible, déprimant, mais c'est aussi ce qui en fait sa force. Et tant mieux s'il a été réécrit... un tel tel témoignage ne devait pas se perdre. Je m'en vas poursuivre mon commentaire sur l'autre tome. Encore MERCI à vous !!!
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Cher Daniel, MERCI pour cette brillantissime et émouvante lecture qui me touche particulièrement, mais cela je vous l'expliquerai sur un autre canal. quelle peinture - presque au sens propre ! - des mœurs maritimes de l'époque et au final...le tableau n'est guère flatteur. Beaucoup de souffrances, de privations et de misère pour un gain quasi nul. Certes, on me rétorquera que l'aventure vécue est sans prix, c'est un peu trop facile. Jamais plus qu'au travers de ce récit on se rend compte que la marine a toujours était le parent pauvre des armées... et les exigences... exorbitantes, extravagantes, sans rapport aucun avec la réalité du terrain. Combien j'eusse aimé voir ces beaux ministres s'embarquer à leur tour... sans toucher le moindre appointement et livrés aux caprices de la mer. Tant d'hommes ont donné le meilleur d'eux-mêmes... pour rien ! Que le gâchis ! C'est à frémir. C'est pour cela que ce récit est si utile. Le portait de Surcouf est savoureux. Il est simplement dommage que Garneray n'ait pas mis ses pas dans les siens ; son destin eût été tout différent. Bien sûr, inutile de le céler, le récit est âpre, pénible, déprimant, mais c'est aussi ce qui en fait sa force. Et tant mieux s'il a été réécrit... un tel tel témoignage ne devait pas se perdre. Je m'en vas poursuivre mon commentaire sur l'autre tome. Encore MERCI à vous !!!
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Claryssandre La Duchesse de Hamptonshire
Je m'en réjouis d'avance comme pour la promesse d'une gourmandise. Merci !!!
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Je m'en réjouis d'avance comme pour la promesse d'une gourmandise. Merci !!!
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Daniel Luttringer La Duchesse de Hamptonshire
Après demain, Claryssandre, L'Amie de Henry Gréville...
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Après demain, Claryssandre, L'Amie de Henry Gréville...
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Daniel Luttringer L'Impératrice Zin Gou
Je me doutais bien que ce serait trop court pour vous, Claryssandre !
On va bien trouver un long Judith Gautier dans vos (mes ?) cordes !
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Je me doutais bien que ce serait trop court pour vous, Claryssandre !
On va bien trouver un long Judith Gautier dans vos (mes ?) cordes !
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momolavioque Le Secret
Je suis allée jusqu'à la fin de l'écoute sans surprise ni grand plaisir, toutefois merci pour cette longue lecture.
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Je suis allée jusqu'à la fin de l'écoute sans surprise ni grand plaisir, toutefois merci pour cette longue lecture.
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Claryssandre L'Impératrice Zin Gou
Charmante nouvelle. Belle écriture. Merci pour cette très agréable lecture. Peut-être pourrez vous rajouter un de ses romans à votre TRÈS longue liste...
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Charmante nouvelle. Belle écriture. Merci pour cette très agréable lecture. Peut-être pourrez vous rajouter un de ses romans à votre TRÈS longue liste...
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Daniel Luttringer Voyages, aventures et combats (Deuxième partie)
Un jour par semaine une grande rando, anana ! What else do I need ?
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Un jour par semaine une grande rando, anana ! What else do I need ?
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anana Voyages, aventures et combats (Deuxième partie)
voici notre marin,quel plaisir de vous écouter nous relater ses incroyables aventures. Pas de vacances pour nos lecteurs ????,
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voici notre marin,quel plaisir de vous écouter nous relater ses incroyables aventures. Pas de vacances pour nos lecteurs ????,
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La Fée Coupaille Maldonne !
Une très jolie nouvelle à la fin inattendue. Un beau portrait de femme prête à se sacrifier pour assurer le bonheur de sa soeur. Encore une très jolie découverte ! Merci Daniel !
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Une très jolie nouvelle à la fin inattendue. Un beau portrait de femme prête à se sacrifier pour assurer le bonheur de sa soeur. Encore une très jolie découverte ! Merci Daniel !
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Christiane-Jehanne Les vacances
Merci infiniment, chère Marie, c'est vraiment un message très sympathique ! Merci beaucoup, c'est un bien gentil encouragement ! Bon week-end à vous, mes amitiés :) Christiane
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Merci infiniment, chère Marie, c'est vraiment un message très sympathique ! Merci beaucoup, c'est un bien gentil encouragement ! Bon week-end à vous, mes amitiés :) Christiane
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Marie Les vacances
Génial !!!! J'aime beaucoup ce livre !!!En plus vous le lisez si bien !!!
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Génial !!!! J'aime beaucoup ce livre !!!En plus vous le lisez si bien !!!
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La Fée Coupaille Marie-Antoinette jugée par Louis XVIII
A votre service, cher Daniel. Petit additif, mais de taille à mon commentaire précédent : "Une reine qui a cru les ressources inépuisables", ou plutôt qui s'est laissée bercer dans cette illusion et qu'on lui a tant reprocher par la suite, hélas non sans raison... Au passage... on découvre que Louis XVIII n'était pas dépourvu d'esprit et non cet homme épais et sans guère de relief dont on a conservé l'image. En clair : dix minutes qui sont très bien employées...
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A votre service, cher Daniel. Petit additif, mais de taille à mon commentaire précédent : "Une reine qui a cru les ressources inépuisables", ou plutôt qui s'est laissée bercer dans cette illusion et qu'on lui a tant reprocher par la suite, hélas non sans raison... Au passage... on découvre que Louis XVIII n'était pas dépourvu d'esprit et non cet homme épais et sans guère de relief dont on a conservé l'image. En clair : dix minutes qui sont très bien employées...
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La Fée Coupaille La comtesse Irma
Je ne l'ai pas soulevé pour ménager le suspense de votre lecture ; j'apprécie tout particulièrement le "légèrement", si bien employé. Combien vous me gâtez entre le Faublas, les mystères de Paris et Martin Numa. pour votre peine... je vous ferai une petite confidence en privé.
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Je ne l'ai pas soulevé pour ménager le suspense de votre lecture ; j'apprécie tout particulièrement le "légèrement", si bien employé. Combien vous me gâtez entre le Faublas, les mystères de Paris et Martin Numa. pour votre peine... je vous ferai une petite confidence en privé.
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Daniel Luttringer L'Homme aux ongles bleus
Je suis heureux de faire le résurrectionniste, La Fée Coupaille !
A bientôt pour le tome 4 (un peu de délai, svp, tout de même...)
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Je suis heureux de faire le résurrectionniste, La Fée Coupaille !
A bientôt pour le tome 4 (un peu de délai, svp, tout de même...)
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Daniel Luttringer La comtesse Irma
Le caractère légèrement cruel de la nouvelle ne vous a manifestement pas gênée, La Fée Coupaille ! Merci à vous !
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Le caractère légèrement cruel de la nouvelle ne vous a manifestement pas gênée, La Fée Coupaille ! Merci à vous !
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Daniel Luttringer Marie-Antoinette jugée par Louis XVIII
Si j'avais une rédactrice comme vous avant la publication, La Fée Coupaille...!
Merci de tout coeur !
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Si j'avais une rédactrice comme vous avant la publication, La Fée Coupaille...!
Merci de tout coeur !
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La Fée Coupaille L'Homme aux ongles bleus
Bon ben y'a pas... je suis mordue... grave. A en oublier mon vocabulaire. Tant pis si je dois utiliser des mots déjà écrits. Pourquoi diable cet excellent Léon SAZIE est-il tombé dans l'oubli ? Je suis fan de ce Martin Numa ! Combien j'ai hâte de disposer des neuf volumes... C'est trop trop bien ! Il est seulement triste que ces aventures ne connaissent pas une seconde jeunesse en étant mis sous un format plus accessible. En plus, les illustrations d'origine utilisées pour les vignettes sont VRAIMENT superbes. Daniel... je ne puis retenir mes louanges. S'il vous plait : CON-TI-NU-EZ !!!
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Bon ben y'a pas... je suis mordue... grave. A en oublier mon vocabulaire. Tant pis si je dois utiliser des mots déjà écrits. Pourquoi diable cet excellent Léon SAZIE est-il tombé dans l'oubli ? Je suis fan de ce Martin Numa ! Combien j'ai hâte de disposer des neuf volumes... C'est trop trop bien ! Il est seulement triste que ces aventures ne connaissent pas une seconde jeunesse en étant mis sous un format plus accessible. En plus, les illustrations d'origine utilisées pour les vignettes sont VRAIMENT superbes. Daniel... je ne puis retenir mes louanges. S'il vous plait : CON-TI-NU-EZ !!!
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La Fée Coupaille La comtesse Irma
J'aime beaucoup ce Daudet parisien, moins connu, mais non moins talentueux. Récit court, mais qui suscite l'attention dès les premiers mots. En quelques phrases, le décor est planté. Excellent ! Encore merci, Daniel. Quel régal !
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J'aime beaucoup ce Daudet parisien, moins connu, mais non moins talentueux. Récit court, mais qui suscite l'attention dès les premiers mots. En quelques phrases, le décor est planté. Excellent ! Encore merci, Daniel. Quel régal !
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La Fée Coupaille Marie-Antoinette jugée par Louis XVIII
Court mais très éclairant. Une tête folle qui n'est véritablement devenue reine... qu'en prison. Comme le dit très bien Louis XVIII, elle n'avait rien compris au rôle qui lui était destiné... mais elle n'y avait PAS été préparée. Autre point d'importance : Marie-Antoinette était LA reine et non une maîtresse appelée à disparaître à chaque instant. Son véritable crime est peut-être d'avoir refusé de demeurer dans la coulisse, comme les reines précédentes. Merci encore, Daniel.
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Court mais très éclairant. Une tête folle qui n'est véritablement devenue reine... qu'en prison. Comme le dit très bien Louis XVIII, elle n'avait rien compris au rôle qui lui était destiné... mais elle n'y avait PAS été préparée. Autre point d'importance : Marie-Antoinette était LA reine et non une maîtresse appelée à disparaître à chaque instant. Son véritable crime est peut-être d'avoir refusé de demeurer dans la coulisse, comme les reines précédentes. Merci encore, Daniel.
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Daniel Luttringer L'Homme aux ongles bleus
Plaisir partagé avec vous, rousse, La Fée Coupaille et Maminou !
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Plaisir partagé avec vous, rousse, La Fée Coupaille et Maminou !
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Maminou L'Homme aux ongles bleus
Merci Daniel
encore une belle aventure de ce super détective quel plaisir de vous écouter
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Merci Daniel
encore une belle aventure de ce super détective quel plaisir de vous écouter
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La Fée Coupaille L'Homme aux ongles bleus
Merci beaucoup Daniel !!! J'avais la plus grande hâte de retrouver ce bon Martin Numa;
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Merci beaucoup Daniel !!! J'avais la plus grande hâte de retrouver ce bon Martin Numa;
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rousse L'Homme aux ongles bleus
Un Léon Sazie !!! 3 heures 1/2 avec Numa, que du bonheur en perspective ! Merci, Daniel.
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Un Léon Sazie !!! 3 heures 1/2 avec Numa, que du bonheur en perspective ! Merci, Daniel.
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Daniel Luttringer Sans nom
Il n'y avait pas de "combat" à défendre, momo, je ne me sens pas obligé de renchérir ! Et je vous en prie, continuez d'enrichir le site par l'originalité de vos propos !
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Il n'y avait pas de "combat" à défendre, momo, je ne me sens pas obligé de renchérir ! Et je vous en prie, continuez d'enrichir le site par l'originalité de vos propos !
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momo la vioque Sans nom
Rien d'agressif je vous l'assure, je trouvais juste que vous défendiez bien peu votre position. Excusez-moi si je vous ai blessé ce n'était pas mon intention,à l'avenir, si commentaire il y a, je tâcherai d'être plus neutre.
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Rien d'agressif je vous l'assure, je trouvais juste que vous défendiez bien peu votre position. Excusez-moi si je vous ai blessé ce n'était pas mon intention,à l'avenir, si commentaire il y a, je tâcherai d'être plus neutre.
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Daniel Luttringer Sans nom
Si vous adressez à moi, momo, sachez que dans la (vraie) vie je ne suis pas ce qu'on peut appeler "gentil", oh non ! Sinon, que vouliez-vous dire ?
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Si vous adressez à moi, momo, sachez que dans la (vraie) vie je ne suis pas ce qu'on peut appeler "gentil", oh non ! Sinon, que vouliez-vous dire ?
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Sophie MALCOR Sans nom
Je n'y avais pas pensé, Momo la vioque... mais c'est assez vrai ! De plus, vous pouvez ajouter que toutes deux sont victimes des circonstances ; obligées d'endosser un rôle très difficile à tenir. En attendant, merci d'enrichir de merveilleux site avec une analyse si fine. Bonne journée.
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Je n'y avais pas pensé, Momo la vioque... mais c'est assez vrai ! De plus, vous pouvez ajouter que toutes deux sont victimes des circonstances ; obligées d'endosser un rôle très difficile à tenir. En attendant, merci d'enrichir de merveilleux site avec une analyse si fine. Bonne journée.
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Daniel Luttringer Sans nom
Vos explications complémentaires, momo, sont formidables de clarté. Je vous en remercie vivement !
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Vos explications complémentaires, momo, sont formidables de clarté. Je vous en remercie vivement !
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momo la vioque Sans nom
J'ai dû mal m'exprimer. Je ne compare pas deux écrivains mais deux personnages. Bien sûr l'époque n'est pas la même , bien sûr leur milieu est différent, bien sûr l'enfance de l'une n'a rien à voir avec l'enfance de l'autre mais leur caractère se ressemble sous bien des facettes. L'intransigeance, la témérité, le peu de cas qu'elles font de la morale et des lois, le fait de nier leurs propres sentiments, tout cela pour arriver au but qu'elles se sont fixé. L'une et l'autre agissent comme n'ayant plus rien à perdre puisqu'elles estiment avoir déjà tout perdu.
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J'ai dû mal m'exprimer. Je ne compare pas deux écrivains mais deux personnages. Bien sûr l'époque n'est pas la même , bien sûr leur milieu est différent, bien sûr l'enfance de l'une n'a rien à voir avec l'enfance de l'autre mais leur caractère se ressemble sous bien des facettes. L'intransigeance, la témérité, le peu de cas qu'elles font de la morale et des lois, le fait de nier leurs propres sentiments, tout cela pour arriver au but qu'elles se sont fixé. L'une et l'autre agissent comme n'ayant plus rien à perdre puisqu'elles estiment avoir déjà tout perdu.
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Daniel Luttringer Trois hommes dans un bateau (Version 2)
Salut rousse ! Je vous dirai juste ceci : le nombre de fois ou j'ai dû m'interrompre car le rire me montait à la gorge ...!
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Salut rousse ! Je vous dirai juste ceci : le nombre de fois ou j'ai dû m'interrompre car le rire me montait à la gorge ...!
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rousse Trois hommes dans un bateau (Version 2)
Salut Daniel. Le temps d'écoute m'avait fait hésiter, mais je ne regrette pas cette lecture. C'est amusant, d'une écriture légère et tellement cocasse! Votre talent s'entend tout du long !
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Salut Daniel. Le temps d'écoute m'avait fait hésiter, mais je ne regrette pas cette lecture. C'est amusant, d'une écriture légère et tellement cocasse! Votre talent s'entend tout du long !
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Daniel Luttringer Sans nom
Le rapprochement avec Stig Larsson est audacieux, momo, mais j'apprécie !
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Le rapprochement avec Stig Larsson est audacieux, momo, mais j'apprécie !
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momo la vioque Sans nom
Un romantisme torride ! Le personnage intransigeant de Magdalen me fait penser à Lisbeth Salander dans Millénium de Stieg Larsson. Sauf pour la fin, cela va sans dire ... Merci pour cette lecture.
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Un romantisme torride ! Le personnage intransigeant de Magdalen me fait penser à Lisbeth Salander dans Millénium de Stieg Larsson. Sauf pour la fin, cela va sans dire ... Merci pour cette lecture.
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Daniel Luttringer L'Italien
C'est intéressant ce que vous dites, Jean Darrig (au-delà des éloges, bien sûr), car moi-aussi, immergé auditivement (je vous rappelle que j'ai le "retour son" du casque audio dans mon oreille), je ressens infiniment mieux l'action de l'histoire. Un grand merci à vous !
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C'est intéressant ce que vous dites, Jean Darrig (au-delà des éloges, bien sûr), car moi-aussi, immergé auditivement (je vous rappelle que j'ai le "retour son" du casque audio dans mon oreille), je ressens infiniment mieux l'action de l'histoire. Un grand merci à vous !
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Jean Darrig L'Italien
Un roman bien représentatif de son époque. Si je l'avais lu, je ne l'aurais peut-être pas apprécié. En revanche, j'ai adoré l'histoire que m'a racontée Daniel ! Sa lecture valorise l'écrit en lui conférant une espèce de sérieuse majesté. Apaisant, intime, excellent contre le stress. Merci Daniel.
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Un roman bien représentatif de son époque. Si je l'avais lu, je ne l'aurais peut-être pas apprécié. En revanche, j'ai adoré l'histoire que m'a racontée Daniel ! Sa lecture valorise l'écrit en lui conférant une espèce de sérieuse majesté. Apaisant, intime, excellent contre le stress. Merci Daniel.
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SERGE1962 Une ronde pour Dutilleul
Merci pour votre excellente et passionnante lecture de ce très beau et émouvant roman très bien écrit.
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Merci pour votre excellente et passionnante lecture de ce très beau et émouvant roman très bien écrit.
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Les malheurs s'accumulent pour notre marin. Il est confronté à les réalités qui le révoltent, mais dont il trouve tout de même de courage de faire la description. Il a aussi le mérite "de remettre les choses en place" en se faisant pédagogue. L'aventure se transforme en odyssée. La beauté la plus époustouflante côtoie bien souvent l'horreur la plus absolue et les hommes trinquent, la poche désespérément vide. Quelle récompense pour un gamin de treize ans qui voulait découvrir le monde. Douze ans de mer, huit ans de prison... et une santé ruinée à tout jamais. Impitoyable... mais très instructif et la République n'en sort pas grandie ! Au passage, il est fort amusant de noter que la Révolution n'a RIEN changé à la vie sur les bateaux... bien au contraire. Pire c'est ce cher Napoléon qui imposera la reprise du commerce de l'ébène... On l'oublie un peu trop souvent !
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