Un coffre, une jeune fille, un mensonge, une terrible erreur, un sauvetage,  quelques demandes en mariage, des soupirs et comment l'amour triomphe...

Les soupirs ne manquent pas dans les contes et celui-ci a aussi ses soupirs ; Henri Pourrat, (1887-1959) dans son recueil, « Les contes du vieux, vieux temps » a écrit un conte, que j'ai beaucoup conté et qui me plaît toujours autant, qui s'appelle « Le dragon vert » où sur la base d'un mensonge, une jeune femme mariée à un capitaine de vaisseau, est jetée à la mer, dans un tonneau, sera sauvée, deviendra un dragon du roi avec un habit vert. Par le prétexte d'une fête, le marquis menteur se fait prendre et le couple, capitaine et dragon vert se retrouve avec bonheur.

Comme Henri Pourrat n'est pas encore dans le domaine public, ce conte ne peut pas être mis en ligne, mais il se trouve dans « Le trésor des contes. »

« La fille du coffre » et « le dragon vert »  sont vraiment parallèles et similaires.