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contes du pays d’armor, 14, les aventures d’arzur et d’azénor

(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)

Contes du Pays d’Armor, 14, Les Aventures d’Arzur et d’Azénor
Suite et fin du RECUEIL
Conte précédent, 13 :
Contes du Pays d’Armor, 13, La Souris - | Livre audio gratuit | Mp3 (audiocite.net)
Conte 14 :
Un magicien et une magicienne se désolent de n’avoir point d’enfant.
Il part chasser en forêt.. et trouve deux enfants.
« Il lui montra les deux enfants, qui dormaient d'un paisible sommeil, et souriaient en dormant. « Voyez, femme, dit-il, ce que je viens de trouver dans le bois ! – Oh ! les charmants poupons ! s'écria-t-elle, ils sont beaux comme les amours... Garçon et fille ! La fille sera pour moi, le garçon pour vous. Chacun élèvera son enfant à sa guise. » Et, prenant la petite fille dans ses bras, elle ajouta : « Voilà ma mignonne ! je l'appellerai Azénor et je lui montrerai tous les secrets de la magie. – Eh bien ! dit le bonhomme, mon gars se nommera Arzur, et je tâcherai d'en faire aussi quelque chose de bien. » Les années passèrent. Les enfants étaient bien traités au château, mais, à mesure qu'ils grandissaient, la magicienne s'attachait davantage à Azénor, qui était belle et spirituelle et apprenait facilement tout ce qu'on lui montrait. En revanche, la dame ne pouvait souffrir Arzur, quoiqu'il fût bon et gentil garçon ; mais, d'une intelligence moins vive que sa sœur, il impatientait, par ses lenteurs, la redoutable sorcière… »


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