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agnès sorel

(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)

Le trône, sous Charles VII, a été sauvé par deux femmes. L’une est la vierge inspirée qui, son miraculeux étendard à la main, conduisait elle-même les soldats à la bataille. L’autre, la maîtresse du roi, la dame de beauté, devint la bonne fée de son amant et contribua à lui faire mériter ce surnom de « Victorieux » que lui décernèrent ses contemporains.
Pour cette femme dévouée, les satisfactions de la puissance et de l’amour-propre étaient bien peu de choses. Une douce parole, un regard tendre du roi, étaient son unique ambition.
L’intérêt du royaume, telle fut la constante préoccupation d’Agnès Sorel. L’œuvre de Charles VII fut la sienne, et c’est à cela qu’elle doit d’avoir trouvé grâce devant la sévère Histoire, qui flétrit d’ordinaire les maîtresses royales. C’est pour cela que son nom, comme un nom béni, a traversé les siècles.


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