« Le 6 juillet 1843, après une traversée de quatre
mois, j'aperçus pour la première fois les hautes
terres de la Chine...

 

La baie de Hong-Kong, où nous jetâmes bientôt
l'ancre, devant la ville de Victoria, capitale de l'île,
est un des plus beaux ports que j'aie vus dans le
monde.»

 

Avertissement du traducteur

«  En effet, ce qui doit rendre ce livre surtout précieux, ce sont les aventures de l'auteur dans des pays où presque personne n'avait pénétré avant lui, ce sont les rapports qu'il a eus non pas avec la nature mais avec les hommes, c'est le tableau
de la vie qu'il a menée dans l'intérieur du Céleste-Em-
pire, obligé d'y vivre comme un Chinois, exposé aux
mêmes vicissitudes que l'eût été un indigène, mais jouissant aussi de tous les avantages que les moeurs,
les coutumes et la civilisation du pays ont produits
pour ses habitants. C'est là le côté hautement curieux
du livre et celui auquel nous nous sommes exclusive-
ment attachés.»

J'ai cherché de qui était la traduction de ce livre mais en vain, car je n'ai absolument rien trouvé.



 

 

 
Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56074675.texteImage