Commentaires


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Message de Dorothée
Brillante rando, Daniel !


Message de Daniel Luttringer
Ce (fameux) texte a été ma montée de l'Everest... Comme je suis heureux de votre mot, Dorothée !


Message de Dorothée
Il manquait à cette oeuvre dense, "grenue", arborescente l'intensité d'une lecture claire et réfléchie. Voilà qui est fait. Je n'ai éprouvé nul ennui à réécouter les digressions philosophiques, analyses, satire des hommes de l'art... et le dénouement "spiritualiste" pour Pauline...
Oui, un magnifique
travail ! Bravo ! Merci, Daniel !



Message de Daniel Luttringer
Oh oui, Sophie, cela n'a pas été une lecture facile, il s'agit d'un texte d'une extrême densité. Vous avez en retiré le meilleur, formidable !


Message de Sophie
Merci beaucoup Daniel, pour votre magnifique lecture!
J'aime beaucoup Balzac, d'une façon générale, mais j'avoue que, pour le coup, ce texte m'a vraiment fatiguée par moments. J'avais envie de dire: "abrège, Balzac!" ahaha!
Il y a des longueurs que je trouve insupportables, mais il y a aussi de véritables joyaux !
Un de mes passages préférés a été la réflexion sur le manque de coeur que la Société éprouve envers les faibles, qu'elle cherche plutôt à éliminer qu'à aider...
Encore une fois merci Daniel! Ce n'était pas une lecture facile, mais vous avez fait là un travail remarquable !!


Message de Daniel Luttringer
C'est un bonheur de vous lire, Claude, notamment parce que je craignais de ne pouvoir faire passer la densité du texte. De plus, vos appréciations et commentaires seront incitatives. Merci !


Message de Claude Fée
Vraiment merci pour cette lecture. Vous rendez ce texte magnifique. Il est difficile, génial. Il mélange tous les registres. Dans un imbroglio de théories et de métaphores, il y a des simplicités qui résonnent si bien: "Il y a tout une vie dans une heure d'amour" !

Les dialogues avec les savants sont si savoureux: la "diaboline" "Ce n'est pas du chagrin" ... "bête comme un fait !" " Il y aura toujours de l'homme dans les sciences humaines".

Texte publié 50 ans avant Bouvard et Pécuchet, je ne peux pas m'empêcher de faire un lien entre les formulations sur l'effet et la cause. Les spécialistes des deux écrivains pourraient certainement nous éclairer. Je me répète: votre lecture Daniel est formidable !



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