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l'éducation sentimentale-l2-chap03

(Résumé ou premières lignes de l'oeuvre)

Alors commença pour Frédéric une existence misérable. Il fut le parasite de la maison. Si quelqu'un était indisposé, il venait trois fois par jour savoir de ses nouvelles, allait chez l'accordeur de piano, inventait mille prévenances ; et il endurait d'un air content les bouderies de Mlle Marthe et les caresses du jeune Eugène, qui lui passait toujours ses mains sales sur la figure.

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